"Mieux-vivre" Attitude

ECOUTER

Bien des gens pensent qu'ils doivent voir un médecin alors qu'ils n'ont besoin parfois que d'être écoutés...
Ecouter, c'est commencer par se taire.
Ecouter, c'est accueillir l'autre tel qu'il se définit lui même, sans se substituer à lui pour exprimer ce qu'il doit être.
Ecouter, ce n'est pas vouloir que quelqu'un soit comme ceci ou comme cela, c'est apprendre à découvrir les qualités qui le distinguent.
C'est être ouvert positivement à toutes les idées, tous les sujets, toutes les expériences, toutes les solutions, sans interpréter, sans juger....laissant à l'autre
son espace et le temps de trouver la voie qui est la sienne.
Ecouter, c'est donner à l'autre de l'attention, du temps, une présence affectueuse..


09/10/2014
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Umar Ibn El Khattab

En train de lire un bouquin sur la vie de UMAR IBN EL KHATTAB.
De la conversion d’Umar Ibn El Khattab (Radiou Allah anho) jusqu’à son accession au Califat, beaucoup d’historiens le décrièrent comme un homme au caractère rude, colérique envers ses compagnons, et intransigeant.
Mais l'histoire rapporte qu'il fut aussi très sensible aux problèmes de sa communauté, avec un sens très élevé de la justice et une humilité admirable.
Un jour, dans la mosquée de Médine, Umar dirigeait la prière du vendredi. Il fut alors interrompu par un jeune enfant, qui le somma de lui payer la part de la Zakat qui lui revenait, et qui ne lui avait pas été versée. Umar, au lieu de réprimander le garçon du fait qu’il interrompe toute l’assemblée au début de la prière pour un problème d’ordre matériel, approuva la requête de ce dernier et proclama que jamais il n’aurait pu prier Dieu sans être en total accord vis-à-vis de sa communauté.
Un autre témoignage de l’humilité d’Umar :
Il ordonna un jour que les rues étroites de Médine ne soient plus encombrées par les marchands pour que les gens puissent circuler normalement. 
Or, un marchand continua à faire commerce dans ses rues. Umar alla voir ce dernier, et le réprimanda fortement pour son attitude. 
La nuit venue, Umar regretta son geste et ne put trouver le sommeil, si bien qu’il revint vers le marchand le lendemain et lui demanda pardon. Le marchand lui avoua : «J’avais déjà oublié cela.»
Umar lui répondit : «Vous l’avez oublié, Umar ne le peut pas.»
Al-Abas ibn Mouttalib a dit : "J'ai été un voisin de Umar Ben Al-Khattab . Je n'ai jamais vu dans ma vie un homme meilleur que lui. Il veillait ses nuits en priant, ses jours en jeûnant et il ne vaquait qu'aux besoins des gens. Quand il mourut, j'ai demandé à Dieu de me le faire voir en songe. En effet, une certaine nuit, je l'ai vu venant du marché de Médine, je l'ai salué et il m'a rendu le salut, puis je lui ai dit : "Comment vas-tu?""Bien", m'a-t-il répondu. 
En lui demandant ce qu'il a trouvé dans l'autre monde, il m'a dit : 
"Je viens maintenant de rendre compte de toutes mes oeuvres. Si je n'avais pas trouvé un Seigneur Miséricordieux, j'aurais été parmi les perdants".
(Alors que dire de nous autres, simples mortels??) Que Dieu nous gratifie de sa miséricorde!!!


09/08/2014
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Le gardien de nuit

Un matin, mon gardien de nuit depuis des années, le visage tout pâle:
-" Madame, ça fait 2 nuits que je ne dors même pas une minute. J'ai une grosse fièvre qui commence dès que je me couche, j'ai mal à la tête, aux articulations. J'ai vraiment besoin que tu me traites" 
-" Et tu n'as pas dormi une seconde? lui demandai je. "Et les nuits d'avant cette fièvre, tu n'avais pas de problèmes de sommeil?"
- Non wallahi, je n'ai jamais eu ce genre d'insomnies, j'ai toujours dormi d'une traite et je dors toute la nuit, sans même me retourner!!!!"
C'est ce jour la que je compris que c'est Dieu seul qui veille et qui protège... 
Bonne nuit à tous sous la protection du très Haut, avec ou sans gardien!


08/08/2014
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L'Etranger

Quelques années avant ma naissance, mon père connut un étranger récemment arrivé dans notre village.
Depuis le début, mon père fut subjugué par ce personnage, si bien qu'il l'invita à demeurer chez nous.
L’étranger accepta, et depuis lors il fit partie de la famille.
Moi je grandissais, je n’ai jamais demandé d’où il venait, tout me paraissait évident.
Mes parents étaient enseignants : ma maman m’apprit ce qu'était le bien et ce qu'était le mal, et mon père m’apprit l’obéissance.
Mais l’étranger était un vrai conteur, un véritable enjôleur.
Il nous maintenait pendant des heures fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes.
Il avait réponse à tout ce qui concernait la politique, l’histoire ou les sciences.
Il connaissait tout du passé, du présent, il parlait de l'avenir !
Il fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois.
Il me faisait rire, et il me faisait pleurer.
L’étranger n’arrêtait jamais de parler, mais ça ne dérangeait pas Maman.
Parfois elle se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire les paroles de l'étranger. 
Mon père avait ses convictions morales, mais l’étranger ne semblait en tenir compte.
Ses commentaires étaient suggestifs, souvent vulgaires et dévergondés.
Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par lui.
Nous le critiquions, mais il n'en faisait aucun cas et il était toujours là !
Cinquante ans sont passées depuis notre départ du foyer paternel.
Et depuis lors beaucoup de choses ont changé: nous n’avons plus cette fascination.
Il n’empêche que, si vous pénétrez mes parents, vous le retrouveriez dans son coin, attendant que quelqu’un vienne écouter ses parlotes ou lui consacrer son temps libre....
Voulez-vous connaître son nom ?
Nous, nous l’appelons ........ TELEVISEUR !
Pire : maintenant, il a une épouse qui s’appelle ORDINATEUR !
Ils ont eu un fils qui s’appelle PORTABLE !
Une nièce qui s'appelle TABLETTE et un neveu pire que tous: c’est le SMART PHONE.
En fin de compte, depuis l'invasion de cette famille d'étrangers qui a tout occupé,
nous, nous en oublions de nous parler....nous en oublions de vivre pleinement ensemble.


08/08/2014
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La Drogue, ce fléau du siècle!!

Il y avait des années, les jeunes d'ici ne savaient même pas ce que signifiait
se droguer. Hier une amie m'a rapporté que les élèves d'un
collège privé de la place (âge entre 12 et 16 ans) cotisent 3000 frs cfa par
personne, achètent du hashish, des comprimés et organisent des
séances de drogue collective. La drogue est en train de
prendre une ampleur phénoménale. C'est dramatique car si on ne fait rien,
l'avenir de toute une jeunesse est sacrifié.
Il faut que les parents, les éducateurs, les autorités prennent le taureau
par les cornes avant qu'il ne soit trop tard. A tous ceux qui constituent
un maillon dans la chaîne du trafic de drogue (le plus petit soit il) je ne sais
pas s'ils ont un miroir chez eux... car c'est difficile de se mirer quand on
participe à l'extermination de l'avenir d'une jeunesse innocente et pleine d'espoir.
 
                                              

20/04/2014
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